dimanche, juillet 16, 2006

Ma petite analyse peu professionnelle et très amatrice

Blogus, Bloga, Blogum

un enfant mal dans sa peau, explique-t-il,
cherche à se raccrocher à l’autorité et à la tradition,
et c’est précisément ce qu’il trouve dans le conservatisme.
Le modèle progressiste attire davantage des individus
qui ont suffisamment d’assurance pour remettre en question
l’ordre établi et explorer d’autres voies.
Pas bête, sauf qu'on peut aussi dire, qu'au contraire, ceux qui se placent à droite de l'échiquier politique (qu'est-ce que je cause bien la langue de bois) sont des libéraux, c'est à dire contre un état interventionniste, alors qu'à gauche on prône l'interventionnisme de l'état.

“C’est un travail bâclé, tendancieux et qui n’a pas grand-chose
de scientifique”, assène quant à lui Jeff Greenberg, de
l’université d’Arizona. Selon ce spécialiste de psychologie sociale,
les personnalités peu assurées, sur la défensive et rigoristes
peuvent selon lui être aussi sensibles aux arguments de la gauche
qu’à ceux de la droite. En Chine, estime-t-il, des individus
de ce type feraient de fervents partisans du Parti communiste.
Pas bête non plus, sauf qu'être communiste en Chine, c'est être conservateur, et surtout pas progressiste.
Comme quoi, on n'apprend pas grand chose en se fiant aux chercheurs, à moins que ce soit les journalistes...